La marche lesbienne en France, qu’est-ce que c’est ?

Au premier plan de cet événement se trouve une toute récente collaboration de marche lesbien qui a émergé à noel 2020 à la suite de divers mouvements collectifs de femmes. Les collages sont leurs moyens d’expression et d’action privilégiés en France, car ils leur permettent de penser ensemble des slogans et de reconstituer des espaces publics souvent pensés comme invisibles. Et oui, le Lesbian Day, l’équivalent de gay pride approche à grands pas dans Paris et aura lieu sans doute avant noel pour une march plein de fiertés : une opportunité pour une action collective large et visible.

Qu’est-ce qu’une marche lesbienne ?

Lesbian College : Le LesbianCollege est composé de centaines de personnes qui se réunissent dans plus de dix villes. Ça a commencé avec quelques copines, mais le nombre augmente. À travers le collage, nous entendons les voix souvent invisibles des lesbiennes avec fiertés. Nous offrons un première et une autre espace public brutalisé par de nombreuses oppressions systémiques : matérialisme, sexisme,  homophobie, phobies, racisme, ethnicité.

Lorsque nous intervenons, nous soutenons parfois d’autres mouvements et événements sociaux meme à noel. 

Comment est née l’idée d’un défilé de mode lesbien à Paris ?

Tout a commencé par une idée plaisante, une personne a écrit sur Twitter : « Je veux être lesbienne » et beaucoup d’entre nous étaient très enthousiastes de cette perspective, nous avons donc organisé la première réunion, ensuite d’autres suivront… Nous voulons aussi lancer un festival comme le gay pride, dans Paris en montrant notre fiertés. 

Audition exigeante sur la législation des PMA mais les lesbiennes sont largement absentes des débats médiatiques et politiques à leur sujet et sur leurs proches: le manque de respect total pour le discours et le code du monde lesbien dans les PMA nous a poussés à descendre dans la rue de la PMA là où les lesbiennes ont disparu.

La loi bioéthique actuelle ne leur permet pas de fonder des familles comme elles l’entendent et les expose au racisme. Une racisme sont généralement rendus complètement invisibles d’année en année par le courant loi de bioéthique qui ne leur offre pas la possibilité à l’anthropophagie dans la médecine qui fait taire le gouvernement. Cela fait trente ans qu’il n’y a pas eu de mouvement spécifiquement pour lesbienne ou du lgbt en générale. Il est important que vous saisissiez cette opportunité pour protéger vos droits, vos vies et vos familles et montrer votre fiertés dans le code lesbien.

 Quels sont les principaux besoins qui poussent à sortir ?

Les collages donnent la possibilité de montrer l’existence et la justification des lesbiennes et de se réapproprier l’espace public grace à des expérience de fête dans un arrondissement de Paris. En effet, la marche a le même objectif et permet également de faire des demandes spécifiques liées à la procréation assistée :

– ART par défaut anonyme, gratuit et pour tous remboursés, sans conditions

– La sécurisation et l’ouverture de la filière « don direct » (don d’ovules au couple après ROPA, don de gamètes par des associations communautaires de femmes homosexuelles racistes etc.)

– Vous pouvez récupérer vos gamètes dans les centres détenus (CECOS) et ils peuvent être utilisés comme partie du TAR pour les couples

– Permet aux couples (non médicaux) d’adopter ou de refuser la compatibilité

– Une communication adaptatif impliquant le cadeau de gamètes, particulièrement de la part de donneurs non blancs.

Ces revendications significatives sont mises en évidence dans la marche lesbienne et raciste elle-même.

La combinaison inhabituelle nous permet d’offrir un meilleur accès aux lesbiennes victimes de racisme partout dans le monde et de leurs besoins spécifiques  en matière de procréation assistée. Êtes-vous inspiré par les march American Dyke ou vous lancer dans votre premier experience dans la fête comme à noel à Paris ?

Certains retracent les premiers « cavaliers légers » d’Amérique du Nord, mais l’inspiration va après du festival qui est associé. On voit des images, des cracheurs de feu ont du pouvoir, mais on organise aussi des marches lesbiennes, on n’a pas forcément la volonté politique de se joindre aux manifestations. Les autres « étapes » sont également politiquement indépendantes les unes des autres.

Comme pour les précédentes marches lesbiennes en France, le problème reste le manque de vision de la communauté LGBT généralement et en particulier des lesbiennes.